Autrefois faisant l’apanage des miniers, la lampe frontale a aujourd’hui conquis l’univers du sport. Elle est devenue indispensable pour les pratiques nocturnes comme la course de nuit. Voici les informations à prendre en compte pour bien choisir cet équipement en fonction de sa puissance.
Le choix du nombre de lumens selon l’activité
Il s’avère intéressant de choisir cet équipement en tenant compte de l’activité pratiquée. Un éclairage au-delà de 100 lumens est recommandé pour les sports à déplacement rapide comme le trail ou le vélo. Effectivement, les pratiquants ont besoin d’un maximum de puissance pour déceler les éventuels obstacles sur leur chemin.
En revanche, un éclairage à puissance minimum suffit pour les activités à déplacement lent comme la pêche ou le camping. Il n’est pas effectivement nécessaire d’avoir un éclairage concentré pour ces pratiques. Une lumière qui permet de percevoir l’entourage de soi suffit.
Quid des lampes frontales puissantes ?
Hurkin figure parmi les marques réputées pour leurs lampes frontales puissantes. Sa lampe « Angle large » Orbit de 1000 lumens permet, par exemple, d’éclairer jusqu’à 30 mètres. Avec sa capacité luminaire de 6000 lumens, la lampe 3T6 de GHB peut également satisfaire les sportifs nocturnes exigeants. Ce qui rend ce modèle plus efficace pour les disciplines exigeant une bonne luminosité comme la pêche, la chasse de nuit ou la spéléologie.
L’importance du mode d’éclairage et de l’autonomie
Le clignotant rouge arrière est un signalement de sa présence aux voitures sur la route en cas de jogging nocturne. Quant au clignotant blanc à l’avant, il offre davantage de visibilité aux personnes croisées sur la route. L’autre mode d’éclairage utile sur une lampe frontale est le mode rouge. Sa principale fonction est d’éclairer tout autour sans éblouir l’entourage.
Enfin pour la question d’autonomie, celle-ci dépend étroitement de la puissance d’éclairage. Le choix d’un fort éclairage entraîne une baisse évidente de l’autonomie.